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n.f. Sentiment douloureux face aux souffrances d’autrui, que l’on ne connaît ou partage pas soi-même.
n.f. (Par analogie) Compassion ; commisération.
n.f. (Par métonymie) Détresse, état misérable.
n.f. (Par analogie) Sentiment de mépris, d’orgueil ou de supériorité face aux souffrances ou difficultés d’autrui que l’on ne connaît pas soi-même.
n.f. Capacité de s’émouvoir.
n.f. Ensemble des phénomènes de la vie affective.
n.m. Disposition à s’occuper d’autrui, à s’y intéresser.
n.m. Sentiment d’amour instinctif ou réfléchi pour autrui.
n.m. Action de s’apitoyer, de se prendre en pitié, souvent au sens péjoratif.
n.f. Présence. — Note : Il est surtout usité en parlant de la présence d’un officier public ou d’un ecclésiastique dans quelqu’une des fonctions de leur ministère.
n.f. (Courant) Public ou ensemble des personnes assemblées en un lieu.
n.f. Aide ; secours.
n.f. (Religion) Dans quelques ordres religieux, état ou province où se trouve celui qui assiste le général ou le provincial de son ordre.
n.m. Action de s’attendrir ou état d’une âme attendrie.
n.f. Ce que l’on donne aux pauvres par charité.
n.f. (Par extension) Somme d’argent dérisoire.
n.f. (Par extension) Faveur qu’on daigne accorder par pitié à quelqu’un.
v. Première personne du singulier de l’indicatif présent de aumôner.
v. Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de aumôner.
v. Première personne du singulier du subjonctif présent de aumôner.
v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent de aumôner.
v. Deuxième personne du singulier de l’impératif de aumôner.
n.f. Inclination à faire du bien aux autres, pratique des bienfaits.
n.f. Bien que l’on fait dans un intérêt social.
n.f. Motivation à respecter autrui et agir pour son bien.
n.f. Qualité de ce qui est bon.
n.f. Justice.
n.f. Qualité morale qui porte à être doux, facile, indulgent, à faire du bien.
n.f. (En parlant d’une femme) Égard.
n.f. Simple bienveillance ; pure politesse.
n.f. (Vieilli) Simplicité et trop grande naïveté.
n.f. (Au pluriel) Actes de bienveillance.
n.f. (Au pluriel) Termes de politesse.
n.f. (Religion) Vertu théologale, amour que l’on ressent pour Dieu, pour le bien et pour son prochain.
n.m. (Par extension) Personnage qui possède ces qualités de courage, de vaillance, etc.
n.m. (Figuré) Centre de l’affectivité par opposition à la raison, à l’esprit.
n.m. Pensée intime, dispositions de l’âme.
n.m. (Familier) Sujet des affections de quelqu’un.
n.m. Ce qui rappelle la forme de l’organe.
n.m. (Régionalisme) Bigarreau.
n.m. (Cartes à jouer) Une des quatre enseignes d’un jeu de cartes français ou germanique, ainsi nommée parce que les cartes de cette couleur sont marquées de cœurs…
n.m. (Par analogie) Milieu de quelque chose, particulièrement d’un état ou d’une ville, centre, parfois symbolique, d’un objet, d’un endroit.
n.m. (Par extension) (France) Zone centrale d’un parc naturel, bénéficiant d’une protection renforcée.
n.m. (Par extension) (Héraldique) Centre de l’écu. Voir en cœur.
n.m. (Héraldique) Meuble représentant un cœur stylisé (cardioïde) dans les armoiries. À rapprocher de cœur vendéen.
n.m. (Foresterie, Menuiserie) Partie centrale du corps ligneux des arbres.
n.m. (Technologie des réacteurs nucléaires) Partie d’un réacteur nucléaire à fission dans laquelle est placé le combustible nucléaire et qui est agencée de manière…
n.m. (Technologie des réacteurs nucléaires) Quantité de combustible nucléaire située dans cette partie du réacteur.
n.m. (Électronique) Cœur de processeur.
n.m. (Chemin de fer) Partie d’un aiguillage où se croisent deux rails.
n.m. (Par extension) (Horlogerie) Dispositif en forme de cœur, inventé en 1862 par le Suisse Adolphe Nicole et permettant aux chronographes de remettre rapidement…
n.m. Jeu de cartes dans lequel les cartes se jouent par couleur. La dame de pique permet de briser le cœur, et cette couleur peut alors être jouée.
n.f. (Soutenu) Sorte de pitié qu’on ressent pour ceux qui se sont rendus coupables de fautes, qui ont commis des actes contraires à la morale, à la religion.
n.f. Éprouver de la miséricorde ; partager la misère mentale d’autrui due à sa situation ; compatir pour la souffrance physique ou morale d’un ou plusieurs autres…
n.f. Sentiment qui nous fait partager la souffrance d’autrui (par intuition ou connaissance de cette souffrance-là).
n.f. (Par analogie) Pitié.
n.f. Pluriel de condoléance.
v. Deuxième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe condoléancer.
v. Deuxième personne du singulier du subjonctif présent du verbe condoléancer.
n.f. Qualité de ce qui est délicat.
n.f. (Par extension) Adresse, légèreté, soin.
n.f. (Figuré) Ménagement, circonspection.
n.f. Qualité de ce qui est agréable au goût.
n.f. (Figuré) Sensibilité, aptitude à juger finement de ce qui regarde les sens ou l’esprit.
n.f. (Figuré) Ce qui est senti, pensé, fait ou exprimé d’une manière délicate.
n.f. Faiblesse, débilité.
n.f. Mollesse.
n.f. Susceptibilité, facilité à s’offenser, à se choquer.
n.f. Scrupules sur ce qui touche à la probité, à la morale, aux bienséances.
n.f. (Psychologie) Réaction affective subite, temporaire et involontaire, souvent accompagnée de manifestations physiques, provoquée par un sentiment intense de peur…
n.f. (Vieilli) (Français classique) Mouvements populaires qui annoncent une disposition au soulèvement, à la révolte.
n.f. (Psychologie) Faculté de s’émouvoir ou disposition à s’émouvoir.
n.f. Faculté d’être excité, d’entrer en action sous l’influence d’une cause extérieure.
n.f. Lien de parenté qui unit les enfants, frères et sœurs, nés des mêmes parents.
n.f. Idée selon laquelle tous les humains, hommes et femmes, sont égaux et méritent égale dignité et égale considération.
n.f. Liaison étroite que contractent ensemble ceux qui, sans être frères, se traitent néanmoins comme des frères.
n.f. Organisme, association, à caractère religieux, entre personnes voulant vivre de façon fraternelle.
n.f. Société d’étudiants organisée au sein des universités d’Amérique du Nord.
n.f. Disposition à donner plus qu’on n’est tenu de donner et à recevoir moins qu’on pourrait réclamer.
n.f. (Par extension) Noblesse, élévation de sentiments.
n.f. (Par extension) Actes de générosité.
n.f. Nature ou condition humaine.
n.f. Genre humain, les hommes en général.
n.f. (Par extension) Une partie seulement du genre humain.
n.f. Bonté, sensibilité ou compassion pour les malheurs d’autrui.
n.f. (Au pluriel) Les études que l’on faisait dans les lycées ou les collèges où l’on enseignait les langues et littératures grecques et latines.
n.f. Facilité à excuser et à pardonner les fautes, les défauts.
n.f. (Catholicisme) (Souvent au pluriel) Rémission des peines que les péchés méritent, accordée par l’Église sous certaines conditions.
n.f. Douceur d’âme qui porte à être indulgent, patient, clément.
n.f. Pitié, compassion.
n.f. (Christianisme) Vertu qui porte à avoir pitié des autres, à avoir compassion des misères d’autrui et à souhaiter les soulager.
n.f. Grâce, pardon accordé à ceux que l’on pourrait punir.
n.f. Bonté par laquelle Dieu fait grâce aux hommes, aux pécheurs.
n.f. Petite saillie de bois fixée sous le siège d’une stalle et où on peut se reposer légèrement tout en gardant la position verticale.
n.f. (Par extension) Tout dispositif permettant un appui ou un repos partiel dans une position debout fixe, hors contexte religieux.
n.f. (Armement) Dague effilée essentiellement destinée à porter le coup de grâce à un homme à terre.
interj. Exclamation marquant une grande détresse ou un grand découragement.
n.f. (Antiquité) (Numismatique) Nom d’une ancienne monnaie de peu de valeur, employée dans l’antiquité grecque.
n.f. (XVIIe siècle) (Numismatique) Monnaie de cuivre valant un demi-denier.
n.f. (Par extension) Petite somme d’argent.
n.f. (Par extension) Modeste offrande ou don peu important.
n.f. Don que l’on offre à Dieu, aux saints ou à l’église.
n.f. Don que l’on offre à une divinité, aux idoles ou à un temple.
n.f. Il se dit encore, par extension, de tout don que l’on fait à un organisme ou à une personne.
n.f. Cérémonie qui se pratique aux messes dans lesquelles le prêtre, tourné vers le peuple, présente la paix à baiser et reçoit les offrandes des fidèles.
n.f. Amour des êtres humains.
n.f. (Didactique) Aptitude à recevoir des impressions.
n.f. Qualité par laquelle un sujet est sensible aux impressions physiques.
n.f. De même en parlant des impressions morales.
n.f. (Par extension) Ce à quoi l’on est sensible.
n.f. Sentiment d’humanité, de pitié, de tendresse.
n.f. (Philosophie) Ensemble des opérations qui constituent la vie sensitive et la vie affective.
n.f. (Physique) Propriété de marquer les plus légères différences, les moindres variations.
n.f. (Statistiques) Capacité d’un test à donner un résultat positif lorsqu’une hypothèse est vérifiée.
n.m. (Vieilli) Action ou faculté de sentir, de recevoir des impressions.
n.m. Faculté que nous avons de connaître, de comprendre, d’apprécier, de sentir directement certaines choses sans le secours du raisonnement, de l’observation ou…
n.m. Quelqu’une des affections, des passions, des émotions ; et généralement de tout phénomène de la vie affective.
n.m. Disposition à être facilement ému, touché ou attendri.
n.m. Opinion qu’on a de quelque chose ; ce qu’on en pense ; ce qu’on en pressent.
n.m. (Chasse) Traces et odeurs laissées par un gibier.
n.f. Penchant instinctif qui attire des personnes les unes vers les autres.
n.f. L’accord avec le sentiment d’autrui, le pouvoir que nous avons de participer aux peines et aux plaisirs les uns des autres. Syn. : empathie
n.f. Bienveillance.
n.f. (Musique) État de deux cordes, ou plus généralement de deux corps sonores, dont le second se met à résonner lorsque le premier produit un son.
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