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interj. Sert à donner au sens plus de force → voir ô.
interj. (Familier) Sert principalement à appeler quelqu’un. Ces sortes de phrases ne s’emploient qu’en parlant à des inférieurs ou à des personnes avec lesquelles…
interj. Se dit également, soit pour avertir de prendre garde à quelque chose :
interj. Soit pour témoigner de la commisération :
interj. Soit pour marquer du regret, de la douleur :
interj. Soit pour exprimer quelque étonnement :
interj. Il se répète quelquefois, dans la conversation familière, pour exprimer une sorte d’adhésion, d’approbation, etc.
n. (Belgique) Versant boisé.
interj. Sert à attirer l’attention
interj. Utilisé par les dresseurs pour calmer l’animal dressé. S’utilise notamment avec les chevaux.
interj. Marque la surprise ou l’étonnement
n.m. Langue munda parlée par les Hos essentiellement dans les États de Jharkhand, de l’Orissa et du Bengale occidental en Inde.
interj. (Vieilli) Cri que les charretiers poussaient pour faire arrêter leurs chevaux.
interj. Dont on se sert pour appeler.
interj. (Populaire) Cri poussé pour faire cesser une activité débordante, un chahut ou pour faire stopper des digressions hors sujet.
interj. Tout beau, c’est assez.
interj. Ménagement, atténuation d’une exagération potentielle verbale ou factuelle.
interj. Marque d’un changement de contexte ou catégoriel important.
interj. Marque d’une surprise ou de douleur physique.
n.m. Terme, fin.
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