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n.f. (Militaire) Composition, traité qu’on fait pour la reddition d’une place, d’un poste, d’une armée, ou pour mettre bas les armes.
n.f. (Histoire) Convention en vertu de laquelle les sujets d’une puissance jouissent de certains privilèges dans les états d’une autre.
n.f. (Histoire) Acte par lequel des garanties et des privilèges étaient assurés aux résidents et commerçants étrangers dans l’empire ottoman.
n.f. (Familier) Moyens de rapprochement et de conciliation qu’on propose dans une affaire.
n.m. État d’une personne, d’une chose abandonnée.
n.m. Action d’abandonner, de délaisser.
n.m. Acte de renoncer à une qualité, un emploi ou un poste.
n.m. Fait de renoncer à une cause, une croyance.
n.m. Fait de renoncer à un parti, un engagement.
n.m. (Par extension) Renonciation à la possession, à la jouissance d’une chose.
n.m. Fait de renoncer à une candidature dans une élection ou un concours.
n.m. (Droit) Don, renonciation à un droit, abandon de famille.
n.m. (Droit) Acte par lequel un débiteur abandonne tous ses biens à ses créanciers, pour se mettre à l’abri de leurs poursuites.
n.m. (Figuré) Sans contrainte. En toute confiance.
n.m. En parlant des manières, des discours, des ouvrages d’esprit et des productions des arts, pour exprimer une sorte de facilité, de négligence heureuse qui exclut…
n.m. En bourse, acte par lequel l’acheteur renonce a un marché conclu en consentant à payer la prime.
n.m. (Psychologie) Rupture des liens affectifs et matériels qui attachent un individu à son entourage plus ou moins proche.
n.m. (Québec) Terrain en jachère.
n.f. Action de renoncer à une charge importante. — Note : Se dit en parlant de celui qui abdique et de la chose abdiquée.
n.f. (Figuré) Renoncement à ses valeurs, à sa personnalité, à son amour-propre.
n.f. (Vieilli) (Jurisprudence ancienne) Acte par lequel un père privait son fils des droits que celui-ci avait, à ce titre, dans sa succession.
n.f. Déroute d’une armée ou de quelques troupes.
n.f. (Vieilli) Facilité plus ou moins grande de se défaire de quelque chose.
