En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez que Google et ses partenaires utilisent des cookies pour vous proposer des publicités ciblées adaptées à vos centres d'intérêt. Aussi pour nous permettre de mesurer l'audience. Cliquez pour en savoir plus.
n.f. Qualité morale qui porte à être doux, facile, indulgent, à faire du bien.
n.f. (En parlant d’une femme) Égard.
n.f. Simple bienveillance ; pure politesse.
n.f. (Vieilli) Simplicité et trop grande naïveté.
n.f. (Au pluriel) Actes de bienveillance.
n.f. (Au pluriel) Termes de politesse.
n.f. Renoncement, sacrifice.
n.f. (Théologie) Détachement de tout ce qui n’a pas rapport à Dieu.
n.f. Qualité de celui qui reçoit, qui écoute et entretient avec bienveillance ceux qui s’adressent à lui.
n.f. Sentiment d’aimer quelqu’un avec attachement ou tendresse, et qui nous porte à vouloir son bien-être ou son bonheur ; amitié ou amour non passionnel ou romantique.
n.f. (Par extension) Divers mouvements de l’âme.
n.f. (Médecine) Maladie.
n.m. Tendance à centrer ses intérêts sur les autres au lieu de soi-même.
n.m. Disposition à s’occuper d’autrui, à s’y intéresser.
n.m. Sentiment d’amour instinctif ou réfléchi pour autrui.
n.f. Qualité d’une personne aimable.
n.f. (Au pluriel) Les signes par lesquels elle se manifeste.
n.f. (Vieilli) (Rare) Agrément, en parlant d’un lieu ou d’un air.
n.f. Douceur accompagnée de politesse et de grâce.
n.f. Présence. — Note : Il est surtout usité en parlant de la présence d’un officier public ou d’un ecclésiastique dans quelqu’une des fonctions de leur ministère.
n.f. (Courant) Public ou ensemble des personnes assemblées en un lieu.
n.f. Aide ; secours.
n.f. (Religion) Dans quelques ordres religieux, état ou province où se trouve celui qui assiste le général ou le provincial de son ordre.
n.f. Concentration particulière sur quelque chose ; application d’esprit à quelque chose.
n.f. (En particulier) Vigilance.
n.f. Disposition qui porte à rendre des soins.
n.f. (Par extension) Marque de prévenance ; soin officieux ou obligeant.
interj. Interjection indiquant qu’une attention ou prudence particulière est requise de la part de l’interlocuteur, ellipse de fais/faites attention.
interj. Utilisé seul en forme exclamative, indique un danger ou événement imminent.
n.f. Ce que l’on donne aux pauvres par charité.
n.f. (Par extension) Somme d’argent dérisoire.
n.f. (Par extension) Faveur qu’on daigne accorder par pitié à quelqu’un.
v. Première personne du singulier de l’indicatif présent de aumôner.
v. Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de aumôner.
v. Première personne du singulier du subjonctif présent de aumôner.
v. Troisième personne du singulier du subjonctif présent de aumôner.
v. Deuxième personne du singulier de l’impératif de aumôner.
n.f. Caractère de celui qui est bénin.
n.f. (Spécialement) (Médecine) Caractère d’une anomalie qui ne pose aucun danger pour la santé.
n.f. Inclination à faire du bien aux autres, pratique des bienfaits.
n.f. Bien que l’on fait dans un intérêt social.
n.m. Bien qu’on fait à quelqu’un, service, bon office que l’on rend, grâce, faveur que l’on accorde.
n.f. Motivation à respecter autrui et agir pour son bien.
n.f. Manière d’être et d’agir qui laisse voir la bonté du cœur unie à la simplicité extérieure, même dans les moindres choses.
n.f. (Dans un sens défavorable) Simplicité excessive, extrême crédulité.
n.m. (Vieilli) Fête que l’on donnait principalement à des femmes, partie de plaisir.
n.m. Présent, don.
n.m. (Ironique) Employé par antiphrase pour désigner quelqu’un ou quelque chose qui déplait ou qui nuit.
n.f. (Religion) Vertu théologale, amour que l’on ressent pour Dieu, pour le bien et pour son prochain.
n.f. Bienfaisance ; aumône aux pauvres. Note : Dans ce sens, pouvait autrefois s’employer au pluriel.
n.f. (Vieilli) Groupe de personnes pieuses se dévouant pour secourir les pauvres.
n.f. (Par métonymie) Hospice où étaient accueillis les pauvres.
n.f. Vertu qui consiste à pardonner les offenses et à modérer les châtiments en parlant de ceux qui disposent de l’autorité souveraine et par extension, de toute…
n.f. Douceur, modération.
n.f. Sentiment qui nous fait partager la souffrance d’autrui (par intuition ou connaissance de cette souffrance-là).
n.f. (Par analogie) Pitié.
n.f. Action de s’accommoder au sentiment, au goût de quelqu’un pour lui plaire.
n.f. Actes de complaisance, et, dans ce sens, on l’emploie très souvent au pluriel.
n.f. Facilité excessive.
n.f. Plaisir, satisfaction, en parlant des personnes qu’on estime, qu’on aime, des choses dans lesquelles on se complaît.
n.f. Faculté de comprendre, de concevoir.
n.f. (Didactique) Connaissance entière et parfaite.
n.f. (Logique) Qualité de ce qui est compréhensif.
n.f. Caractère débonnaire.
n.f. Qualité de ce qui est délicat.
n.f. (Par extension) Adresse, légèreté, soin.
n.f. (Figuré) Ménagement, circonspection.
n.f. Qualité de ce qui est agréable au goût.
n.f. (Figuré) Sensibilité, aptitude à juger finement de ce qui regarde les sens ou l’esprit.
n.f. (Figuré) Ce qui est senti, pensé, fait ou exprimé d’une manière délicate.
n.f. Faiblesse, débilité.
n.f. Mollesse.
n.f. Susceptibilité, facilité à s’offenser, à se choquer.
n.f. Scrupules sur ce qui touche à la probité, à la morale, aux bienséances.
n.m. Qualité de celui qui est désintéressé.
n.m. Détachement de tout intérêt propre.
n.m. Fait de s’investir pleinement dans une action, souvent au profit des autres.
n.m. (En particulier) Action de s’exposer à un grand péril ou à une mort certaine, par humanité, par patriotisme, etc., ou de se sacrifier à autrui ou à une idée…
n.m. (Antiquité) Acte religieux des anciens par lequel un citoyen s’offrait volontairement aux divinités infernales pour faire retomber sur sa tête le malheur dont…
n.m. Action d’offrir à quelqu’un quelque chose, de lui en abandonner la propriété ou présent qu’on lui fait ainsi.
n.m. Chose donnée.
n.m. Abandon ou délaissement gratuit à quelqu’un d’un objet ainsi accordé.
n.m. Donation entre conjoints de l’usufruit de leur bien, pour que le survivant en jouisse.
n.m. (Figuré) Biens, qualités physiques ou morales, avantages qu’on reçoit à la naissance.
n.m. (En particulier) Aptitude.
n.m. (En particulier) Aptitude magique permettant de guérir les brûlures et autres affections de la peau.
n.m. Titre d’honneur donné à certains nobles espagnols, équivalant à « sire ».
n.f. Qualité de ce qui est doux ; la chose même qui a cette qualité. — Note : S’emploie au propre et au figuré.
n.f. (Par extension) (Au pluriel) Les friandises propres à flatter le goût.
n.f. (Par analogie) (Au pluriel) Choses morales qui flattent l’âme, l’esprit, comme les substances douces flattent le goût.
n.f. (En particulier) (Absolument) Façon d’agir douce et éloignée de toute sorte de violence.
n.f. (Par extension) Paroles aimables et particulièrement des paroles galantes qu’un individu adresse à un autre individu pour tâcher de lui plaire, de s’en faire aimer.
n.f. Qualité de ce qui est fait ou employé sans peine.
n.f. Moyen qui permet d’exécuter sans peine.
n.f. (En particulier) (Commerce, Finance) , (Surtout au pluriel) Commodités, délais accordés à un acheteur, à un débiteur.
n.f. Disposition naturelle ou acquise, grâce à laquelle on exécute quelque chose sans peine, sans effort.
n.f. (Souvent) Aptitude à concevoir, à produire, à travailler facilement.
n.f. Manière dont on exécute une chose sans peine.
n.f. Tendance à se plier aux circonstances, à se prêter à ce que l’on attend de vous.
v. Participe passé masculin singulier de faciliter.
n.f. Manière de vivre dans l’intimité de quelqu’un.
n.f. (Surtout au pluriel) Manière de se comporter trop librement à l’égard d’une personne.
n.f. (Par extension) Simplicité, en parlant des ouvrages de l’esprit.
n.f. Marque d’une bienveillante attention ou d’une préférence particulière.
n.f. (En particulier) Marques de préférence qu’une femme donne à un homme.
n.f. (En particulier) Bienveillance, des bonnes grâces d’un personnage puissant, du public.
n.f. Crédit, du pouvoir qu’on a auprès d’un grand personnage, dont on est aimé, préféré.
n.f. Se dit encore par opposition à rigueur, à sévérité.
n.f. Sorte de ruban étroit et très léger, que les dames donnaient à un chevalier.
n.f. (Régionalisme) Pâtisserie.
n.f. Pluriel de faveur.
n.f. Lien de parenté qui unit les enfants, frères et sœurs, nés des mêmes parents.
n.f. Idée selon laquelle tous les humains, hommes et femmes, sont égaux et méritent égale dignité et égale considération.
n.f. Liaison étroite que contractent ensemble ceux qui, sans être frères, se traitent néanmoins comme des frères.
n.f. Organisme, association, à caractère religieux, entre personnes voulant vivre de façon fraternelle.
n.f. Société d’étudiants organisée au sein des universités d’Amérique du Nord.
n.f. Disposition à donner plus qu’on n’est tenu de donner et à recevoir moins qu’on pourrait réclamer.
n.f. (Par extension) Noblesse, élévation de sentiments.
n.f. (Par extension) Actes de générosité.
n.f. Agrément accompagné de délicatesse.
n.f. Tour de souplesse agréable.
n.f. (Ironique) (Souvent au pluriel) Saillies agréables, spirituelles.
n.f. (Ironique) Trait de mauvaise conduite, de malice, etc.
n.f. Ce qui plaît dans les attitudes, les manières, les discours : Un certain agrément, un certain charme indéfinissable.
n.f. (Par extension) Qualité du style qui consiste surtout à exprimer ses pensées d’une manière élégante, sans aucune peine apparente ; c’est l’élégance unie à la…
n.f. Faveur qu’on fait à quelqu’un pour lui être agréable, sans y être obligé.
n.f. (Par extension) Bienveillance qu’une personne accorde à une autre, faveur.
n.f. (Bible, Religion) Aide que Dieu donne aux hommes pour leur salut.
n.f. Pardon, indulgence.
n.f. (En particulier) (Justice) Remise de la peine que le prince ou l’autorité exécutive, fait à un condamné.
n.f. (Par ellipse) (Histoire) Lettre de grâce.
n.f. (Au pluriel) Remerciement, témoignage de reconnaissance.
n.f. (Au pluriel) Prière que l’on fait après le repas.
n.f. (Ironique) (Au pluriel) (Vieilli) Air gracieux ; façons gracieuses.
interj. Ne continuez pas.
interj. Supplication d’épargner.
n.m. Mouvement intellectuel apparu au cours de la Renaissance qui puise de textes antiques des modèles de vie, d’écriture et de pensée, culture des belles-lettres…
n.m. (Philosophie) Doctrine centrée sur l’intérêt des hommes et de l’humanité, qui valorise l’humain avant tout.
n.m. (Vieilli) (Péjoratif) Amour de l’humanité excessif et prétentieux.
n.m. (Aujourd’hui) Activisme pour la défense des Droits de l’Homme.
n.f. Nature ou condition humaine.
n.f. Genre humain, les hommes en général.
n.f. (Par extension) Une partie seulement du genre humain.
n.f. Bonté, sensibilité ou compassion pour les malheurs d’autrui.
n.f. (Au pluriel) Les études que l’on faisait dans les lycées ou les collèges où l’on enseignait les langues et littératures grecques et latines.
n.f. Facilité à excuser et à pardonner les fautes, les défauts.
n.f. (Catholicisme) (Souvent au pluriel) Rémission des peines que les péchés méritent, accordée par l’Église sous certaines conditions.
n.f. Disposition à être généreux, générosité.
n.f. Ce qu’on donne généreusement.
n.f. Disposition à se montrer généreux, libéral.
n.f. (Droit) Don fait entre vifs ou par une disposition testamentaire.
n.f. Attitude de respect envers tout être humain.
n.f. (Littéraire) Patience avec laquelle un être puissant et bon endure les fautes, les insultes qu’il pourrait punir.
n.f. Vertu de celui qui est magnanime ; grandeur d’âme.
n.f. Douceur d’âme qui porte à être indulgent, patient, clément.
n.f. Pitié, compassion.
n.f. (Christianisme) Vertu qui porte à avoir pitié des autres, à avoir compassion des misères d’autrui et à souhaiter les soulager.
n.f. Grâce, pardon accordé à ceux que l’on pourrait punir.
n.f. Bonté par laquelle Dieu fait grâce aux hommes, aux pécheurs.
n.f. Petite saillie de bois fixée sous le siège d’une stalle et où on peut se reposer légèrement tout en gardant la position verticale.
n.f. (Par extension) Tout dispositif permettant un appui ou un repos partiel dans une position debout fixe, hors contexte religieux.
n.f. (Armement) Dague effilée essentiellement destinée à porter le coup de grâce à un homme à terre.
interj. Exclamation marquant une grande détresse ou un grand découragement.
n.f. Disposition qui porte à faire de grandes libéralités.
n.f. (Soutenu) Disposition à se montrer obligeant, serviable.
n.f. (Antiquité) (Numismatique) Nom d’une ancienne monnaie de peu de valeur, employée dans l’antiquité grecque.
n.f. (XVIIe siècle) (Numismatique) Monnaie de cuivre valant un demi-denier.
n.f. (Par extension) Petite somme d’argent.
n.f. (Par extension) Modeste offrande ou don peu important.
n.f. Don que l’on offre à Dieu, aux saints ou à l’église.
n.f. Don que l’on offre à une divinité, aux idoles ou à un temple.
n.f. Il se dit encore, par extension, de tout don que l’on fait à un organisme ou à une personne.
n.f. Cérémonie qui se pratique aux messes dans lesquelles le prêtre, tourné vers le peuple, présente la paix à baiser et reçoit les offrandes des fidèles.
n.f. (Médecine) Action d’oindre. Action de frotter doucement quelque partie du corps avec une substance grasse huileuse.
n.f. Action d’oindre qui entre dans l’administration de quelques sacrements et dans plusieurs cérémonies de l’église.
n.f. (Figuré) Douceur particulière qui, dans un discours, dans un écrit, touche le cœur et porte à la dévotion ou à une sorte d’attendrissement.
n.f. (Théologie) Action pacifiante et douce de la grâce.
n.f. (Par extension) Approbation.
n.m. Action de pardonner une faute, une offense.
n.m. (Familier) Action de demander le pardon.
n.m. (Droit) (Désuet) Remise de peine.
n.m. (Religion) Rémission des péchés, des offenses, indulgence, acte de miséricorde.
interj. Formule de politesse sollicitant le pardon des auditeurs.
interj. (Côte d’Ivoire) S’il vous plait.
n.f. Amour des êtres humains.
n.f. Sentiment douloureux face aux souffrances d’autrui, que l’on ne connaît ou partage pas soi-même.
n.f. (Par analogie) Compassion ; commisération.
n.f. (Par métonymie) Détresse, état misérable.
n.f. (Par analogie) Sentiment de mépris, d’orgueil ou de supériorité face aux souffrances ou difficultés d’autrui que l’on ne connaît pas soi-même.
adj. Qui est, qui se trouve actuellement dans le lieu dont on parle.
adj. (Figuré) Alerte, actif, efficace.
adj. Se dit aussi des choses auxquelles on songe, dont on se souvient, que l’on croit voir encore.
adj. Qui est actuel, qui est dans le temps où nous sommes.
adj. (Grammaire) Qualifie le temps grammatical situant l’action au moment où on l’énonce.
n.m. Personne qui est ici, qui assiste.
n.m. Partie du temps qui se déroule en ce moment. — Note : Il est rarissime au pluriel.
n.m. (Grammaire) Temps grammatical situant l’action au moment où on l’énonce.
interj. Utilisé pour confirmer sa présence lors d’un appel.
n.f. Manière obligeante de prévenir, de devancer les désirs de quelqu’un.
n.f. Caractère, habitude de celui ou de celle qui est prodigue.
n.f. Action de prodiguer.
n.f. (Figuré) Richesse, exubérance, profusion.
n.m. Aide, assistance dans le danger, dans le besoin.
n.m. (Militaire) (En particulier) Aide des troupes qu’on envoie ou qui viennent secourir, seconder ceux qui sont trop faibles pour résister avec avantage à l’ennemi.
n.m. Organisation charitable dont l’objet est d’aider les personnes en danger, dans le besoin.
n.m. (Au pluriel) Ensemble des intervenants en cas d’urgence.
n.m. (Vieilli) (Catholicisme) Succursale d’une paroisse.
v. Première personne du singulier de l’indicatif présent de secourir.
v. Deuxième personne du singulier de l’indicatif présent de secourir.
v. Deuxième personne du singulier de l’impératif présent de secourir.
n.f. Qualité par laquelle un sujet est sensible aux impressions physiques.
n.f. De même en parlant des impressions morales.
n.f. (Par extension) Ce à quoi l’on est sensible.
n.f. Sentiment d’humanité, de pitié, de tendresse.
n.f. (Philosophie) Ensemble des opérations qui constituent la vie sensitive et la vie affective.
n.f. (Physique) Propriété de marquer les plus légères différences, les moindres variations.
n.f. (Statistiques) Capacité d’un test à donner un résultat positif lorsqu’une hypothèse est vérifiée.
n.f. (Rare) Qualité de celui, de celle, qui est serviable.
n.m. État, fonctions, devoirs de quelqu’un qui sert une personne ou une collectivité.
n.m. Par civilité, indique le fait d’être à la disposition de quelqu’un, prêt à faire ce qui pourra lui être utile ou agréable.
n.m. Fait de servir les plats à table et de les ôter.
n.m. Ensemble de la vaisselle ou du linge qui sert à table.
n.m. (En particulier) Indique le fait d’être le domestique de quelqu’un. Manière dont un domestique s’acquitte de ses fonctions.
n.m. Emploi, fonction de ceux qui servent l’État dans la magistrature, dans les finances, dans l’armée, dans la marine, ou qui font partie d’une administration.
n.m. Travail effectif ou effectué.
n.m. (Au pluriel) Manière dont quelqu’un a servi, temps pendant lequel il a servi.
n.m. Ensemble d’opérations, de travaux, etc., servant à un usage déterminé dans les administrations, les établissements publics ou particuliers.
n.m. Usage, utilité qu’on retire des animaux et de certaines choses.
n.m. Assistance qu’on donne ; aide qu’on prête à quelqu’un.
n.m. (Religion) Célébration solennelle de l’office divin, de la messe et de toutes les prières publiques qui se font dans l’église.
n.m. (Badminton, Tennis, Tennis de table, Volley-ball) Action de celui qui sert la balle, le ballon ou le volant.
n.m. (Art) Au théâtre, se dit des invitations envoyées aux critiques, aux membres de la presse.
n.m. (édition) Publication que l’on envoie régulièrement et gratuitement à quelqu’un.
n.m. (Droit) Servitude.
n.m. (économie) Produit ou bien immatériel, par opposition à l’agriculture (secteur primaire) ou à l’industrie (secteur secondaire).
n.m. (Informatique) Dans un modèle client-serveur, fonctionnalité qui répond aux requêtes des logiciels client ; logiciel fonctionnant sans interface utilisateur.
n.m. (Militaire) Ellipse de service militaire.
interj. (Suisse) (Luxembourg) (Alsace) Formule de politesse utilisée après avoir aidé quelqu’un.
n.f. Qualité de ce qui n’est pas composé.
n.f. Caractère de ce qui n’est pas compliqué.
n.f. Caractère de ce qui est sans apprêt, sans recherche.
n.f. Qualité de ce qui est sans détours, sans déguisement.
n.f. Naïveté, trop grande facilité à croire, à se laisser tromper.
n.f. Capacité à supporter un inconvénient.
n.f. Condescendance, indulgence, action de supporter ce que l’on ne peut empêcher ou que l’on croit ne pas pouvoir empêcher.
n.f. (En particulier) (Politique, Religion) Fait de ne pas s’opposer à des idées, à des positions différentes des nôtres.
n.f. (Administration, Art, Métrologie) Écart toléré dans la dimension, la quantité, etc., des marchandises fournies.
n.f. (Désuet) (Par ellipse) Maison de tolérance.
n.f. (Biologie) Seuil maximal de la capacité d’un organisme à absorber des substances chimiques ou des conditions physiques particulières sans en être visiblement affecté.
v. Première personne du singulier du présent de l’indicatif de tolérancer.
v. Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de tolérancer.
v. Première personne du singulier du présent du subjonctif de tolérancer.
v. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de tolérancer.
v. Deuxième personne du singulier de l’impératif de tolérancer.
Vous aimez les mots, visitez les sites web suivant :